Mais plus encore, parfums et accessoires prennent place dans le e-commerce, même si la critique est rude, son auteur pointe sans doute un problème clé : l'écrin véritable reste la boutique et les site web ont sans doute la rudesse des souks. Faut-il en être? pourquoi?
Autre question : dans l'l'international ou l'interculturel, la marque doit communiquer avec des publics très différents, comment les différences sont-elles gérées? peut-on être une dans un monde multiple, peut-on rester une quand les oripeaux s'arrachent et habillent les multitudes?
Deux remarques permettent d'en comprendre la logique de réponse. Une sorte de contradiction qui n'en est pas une , un paradoxe apparent. Chacun doit voir le roi, peu ont le droit de le toucher.
1) L'enjeu essentiel de la gestion de la marque est de l'installer au sommet de la hierarchie des marques. Elle doit être dans l'imaginaire y compris de ceux qui ne peuvent en être les consommateurs. Par le travail de l'image et l'omni-présence, la marque doit être comme les dieux qu'on voit partout sans jamais les toucher. On comprendra que sur le net, que ce soit par les bannières, les réseaux, et son propre appareil la marques doit étinceller partout.
2) Pour servir ses aficionados, qu'ils dépensent des milliers d'euros où quelques dizaines, en vetements accessoires ou parfums, les mêmes médias doivent assurer ce sens de la singularité - être unique - par un lien personnel. maintenir le club et distinguer chacun.
C'est à ce sujet que se sont attaquer nos étudiant du MBA Franco Indien de l'ESC de Pau.
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